Numérique local : l’exemple des Hauts-de-Seine

En complément de mon intervention sur la fracture territoriale,  il est nécessaire d’apporter une précision sur un département en particulier: le 92.

Dans les Hauts-de-Seine, le conseil général a attribué sous le couvert d’une délégation de service public une subvention de 60 millions d’euros à un groupement privé appelé SEQUALUM afin de procéder à l’installation de la fibre sur l’ensemble de son territoire.

Et pourtant c’est un département où la présence de nombreuses entreprises et sièges sociaux permet aux différents opérateurs de mener sur leurs fonds propres la diffusion du très haut débit sans risque. Et pourtant c’est une collectivité qui possède déjà un réseau public via le syndicat SIPPEREC.

Au regard de ce dernier exemple quelle est la logique devant présidée aux initiatives locales ?